Voyage en Californie

Kulit Depan
L. Hachette et c, 1854 - 239 halaman

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Halaman 240 - Paris dans le cours du mois de décembre 1860, et toutes les formalités prescrites par les Traités sont remplies dans les divers États avec lesquels la France a conclu des conventions littéraires.
Halaman 240 - Traités internationaux, toutes contrefaçons, soit du texte, soit des gravures, ou toutes traductions faites au mépris de leurs droits. Le dépôt légal de cet Ouvrage a été fait à Paris...
Halaman iv - Voyage au cap Nord , par la Suède, la Finlande et la Laponie , dans les années i798 et i799 , avec cette épigraphe , Sistimus hic tandem , nobis ubi defuil orbis , a vol.
Halaman 111 - ... dit les prières selon le rit luthérien; enfin de l'église on se rend au cimetière, et sur le bord de la fosse le défunt reçoit la dernière bénédiction du prêtre, et le dernier adieu de ceux qui l'accompagnent. Il est à remarquer que depuis la maison mortuaire jusqu'à l'église, et même jusqu'au cimetière, la route est jonchée de petites branches de sapin. Des croix et des tombes s'élèvent sur presque toutes les sépultures : elles portent des épitaphes qui la plupart expriment...
Halaman 67 - Coït, arquebusier. main, s'étaient jetés sur eux et les avaient égorgés. La femme seule fut épargnée avec ses deux enfants; quant au patron, André Soberano, il s'était glissé dans la rivière dès le commencement . de l'action, et avait pris pied sur le rivage bien audessous de la crique. Les assassins firent échouer la pirogue à terre et forcèrent la femme avec ses deux enfants, tout couverts du sang des victimes, à descendre avec eux.
Halaman 41 - ... eûmes-nous franchi les rochers qui bordaient le rivage et fait quelques pas sur l'onde solide, que des craquements multipliés nous avertirent du peu de consistance de la glace. Il fallut renvoyer les chevaux qui tiraient nos traîneaux, et les remplacer par des hommes. Au bout d'un quart-d'heure, nous fûmes obligés nous-mêmes de descendre et de suivre à pied. Quel début effrayant ! Le danger ne fit que s'accroître au fur et à mesure que nous avancions. C'est en vain que nos guides, armés...
Halaman 23 - C'est alors surtout que la mer d'Aland nous fit sentir l'effroyable dureté de ses vagues. Ce n'est pas de l'eau que cette mer, c'est du granit. Sur le pont du yacht, que je n'avais pas quitté un seul instant, j'éprouvais les mêmes sensations que dans une voiture qui cahote à travers les rochers. Et puis, comme les vagues s'acharnaient contre nous! Nous les voyions arriver de loin, semblables à un cheval qui galope, s'élever tourbillonnantes audessus de nos têtes, et retomber ensuite de tout...
Halaman 32 - Arrivés sitr les bords de la mer, nous y trouvâmes nos traîneaux et nos bagages que le maître de poste de Skarpans avait eu l'obligeance d'envoyer en avant. Là aussi nous attendaient les dix rotkarlar ou guides que nous avions enrôlés pour la route, ainsi que le courrier chargé du transport des lettres de Suède en Finlande, lequel avait ordre de ne pas nous quitter un seul instant, et de nous prêter son assistance personnelle et celle de ses hommes dans toutes les circonstances périlleuses....
Halaman 22 - ... jusqu'alors avait enflé doucement nos voiles, se changea en bourrasque, le ciel se couvrit de nuages, la neige tomba. Mon compagnon de voyage pâlissait à vue d'œil ; lui qui, dans sa carrière vagabonde de diplomate, n'avait jamais eu le mal de mer, se sentit déchiré par d'atroces souffrances. Il disparut dans la cabine. Quant à moi, l'émotion morale me sauva du mal physique ; mon estomac, bouleversé d'ordinaire au seul aspect des câbles d'un navire, tint bon. Cependant, la tempête...

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