Lyons, etc., 1816-18191818 |
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17 juillet 22 octobre agens annoncé arrêté autorités avaient Avignon Barbier Bonaparte Bourdon Brignais bruits campagnes capitaine Ledoux caserne Chabrol chefs chose circonstances citoyens comité commandant commissaire de police communes complot conjurés conspiration Cormeau coupables cour prévôtale déclaration Defargues dénoncé département du Rhône devait dimanche doute duc de Raguse eût événemens événements factieux Favier Fédérés fille Lallemant Fourvières fusil garde nationale Garlon Gauthié gendarme gendarmerie général Canuel gouvernement Guillotière heures hommes individus j'avais jour juillet juin justice l'arrestation l'autorité lettre lieu lieutenant de police long-temps Lyon m'avait magistrat maire maison manœuvres maréchal maréchal Brune Maringonné ment mesures militaire Millery ministre misérables mois mouvement moyens n'avait n'était Nîmes nommé officier ordre passé patrouilles place porte pré préfet présent prévenus prison procédure provocateur rapports reste révélations Rhône rien s'était Sainneville Saint-Andéol Saint-Genis Saint-Genis-Laval séditieux serait seul sieur Signé soir surveillance Tarare tion tranquillité tribunaux troupes trouver vérité victimes Ville-Franche
Petikan popular
Halaman 84 - ... se seront retirés au premier avertissement des autorités civiles ou militaires , ou même depuis , lorsqu'ils n'auront été saisis que hors des lieux de la réunion séditieuse , sans opposer de résistance et sans armes.
Halaman 76 - Page 3g de sa réponse. ainsi que M. de Chabrol le mandait à S. Exe. le ministre de la police, dans un rapport qu'il eut la bonté de me communiquer , moins par justice que par égard pour ceux qui avaient inventé la conspiration.
Halaman 76 - Chabrol en eut la même opinion, et s'en exprima avec une égale franchise dans une lettre qu'il écrivit au ministre de la police, vers la fin d'octobre, et qu'il me communiqua.
Halaman 63 - maire de Lyon. Ce magistrat ne crut pas devoir s'éloigner » ni se démettre de sa place, et la résignation d'un royaliste > aussi prononcé fit cesser toutes les irrésolutions (p. 9).
Halaman 76 - Sain» neville dans son troisième chapitre ; au 8 juin, » jour de deuil et de larmes pour le département » du Rhône , jour de scandale et de douleur pour
Halaman 76 - Ses déclarations ont fait arrêter, de l'aveu de M. le maire, » deux cent seize personnes... Fidèle, en prison , au système de perfidie » qu'il avait suivi avant d'y entrer, il y trompait les malheureux au milieu » desquels on l'avait placé à dessein. Il les provoquait par des révélations » mensongères, et faisait encore des dupes de ceux dont il avait fait des " victimes (p. 108). » M. Sainneville voulut l'interroger lui-même; mais sa présence lui fut refusée avec obstination. »...
Halaman 66 - C'est ce que les lecteurs pourront apprendre, en se transportant avec nous au milieu des agitations et des événements dont cette contrée est devenue le théâtre.
Halaman 76 - qu'en un clin d'œil tout fut » dispersé (c'est M. de Chabrol lui-même qui » l'atteste) ; dans moins de vingt-quatre heures » tout était rentré dans l'ordre, sans que la force » armée eût été obligée de tirer un seul coup de » fusil (p. 83). » Ainsi l'insurrection était apaisée , la sûreté publique à l'abri de tout danger. « Alors on proclama que la France venait >> d'être sauvée d'un abîme...
Halaman 155 - ... s'étaient dissipés, peu d'heures après s'être réunis, sans avoir reçu les armes qui leur avaient été promises, sans avoir vu les chefs qui devaient se mettre à leur tête, et enfin sans avoir fait la plus légère tentative pour exécuter le plan qu'on leur supposait. « La cour prévôtale cédant sans doute à l'erreur, mais à l'erreur la plus cruelle et la plus déplorable, a fait passer sur la fatale sellette, à l'aide de ses onze procédures, cent cinquante-cinq accusés, dont...
Halaman 76 - Cette absence imprévue ne permet plus guère aux conjurés de douter de la trahison de leur chef. Pour en acquérir une plus grande certitude, ils épient dans le faubourg de Vaise le moment de son retour; de là ils le suivent dans la ville et le voient entrer chez le général Canuel. Convaincus dès lors qu'ils sont vendus , ils n'attendent plus Ledoux que pour se venger, et à peine était-il sorti , après une longue conférence, qu'il reçut le coup mortel. Les pièces relatives au capitaine...