Musée des familles: lectures du soir, Jilid 21Bureaux du Musée des Familles, 1853 |
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Halaman 274 - Ma foi, je n'en sais rien... Des Inquisiteurs, d'eux-mêmes. — Outre que ce Conseil est le plus secret qu'il y ait au monde, cet homme n'est pas fait pour en approcher. — Mais c'est peut-être un des espions qu'ils emploient. — A d'autres ! On prendra pour espion un étranger, et cet espion sera vêtu comme un gueux, en faisant une profession assez vile pour être bien payée, et cet espion trahira ses maîtres pour vous, au hasard d'être étranglé...
Halaman 107 - Aujourd'hui en linge sale, en culotte déchirée, couvert de lambeaux, presque sans souliers, il va la tête basse, il se dérobe, on serait tenté de l'appeler pour lui donner l'aumône. Demain poudré, chaussé, frisé, bien vêtu, il marche la tête haute, il se montre, et vous le prendriez à peu près pour un honnête homme.
Halaman 273 - Il n'eut pas de peine à reconnaître le trouble terrible de son ami ; il s'informa de ce qui pouvait lui être arrivé. Le président lui rend compte de la visite qu'il avait eue, des papiers brûlés et de l'ordre qu'il avait donné de tenir prête sa chaise de poste pour trois heures du matin; car son dessein était de s'éloigner sans délai d'un séjour où un moment de plus ou de moins pouvait lui être si funeste.
Halaman 274 - Président, attendez, mon ami, il me vient une idée. Mais... si... par hasard... cet homme... — Eh bien! cet homme? — Si cet homme... oui, cela pourrait bien être, cela est même, je n'en doute plus. — Mais qu'est-ce que cet homme? Si vous le savez, dépêchez-vous vite de me l'apprendre.
Halaman 273 - Chesterfield se rencontrèrent faisant l'un et l'autre le voyage d'Italie. Ces hommes étaient faits pour se lier promptement; aussi la liaison entre eux. fut-elle bientôt faite. Ils allaient toujours disputant sur les prérogatives des deux nations. Le lord accordait au président que les Français avaient plus d'esprit que les Anglais ; mais qu'en revanche ils n'avaient pas le sens commun.
Halaman 122 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Halaman 274 - Mais c'est peut-être un des espions qu'ils emploient. — A d'autres ! On prendra pour espion un étranger, et cet espion sera vêtu comme un gueux, en faisant une profession assez vile pour être bien payée, et cet espion trahira ses maîtres pour vous, au hasard d'être étranglé si l'on vous prend et que vous le défériez ; si vous vous sauvez et que l'on soupçonne qu'il vous ait averti ! Chanson que tout cela, mon ami. — Mais qu'est-ce donc que ce peut être? — Je le cherche, mais inutilement.
Halaman 317 - GASTON. Ne le dites pas si haut, on finirait par le croire. POIRIER. Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie. Dieu merci! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON.
Halaman 111 - Rameau : Distillateurs d'accords baroques, Dont tant d'idiots sont férus, Chez les Thraces et les Iroques Portez vos opéras bourrus, etc. On en retrouve du même goût dans le recueil intitulé Portefeuille de Rousseau1, contre l'abbé d'Olivet, qui avait formé un projet de le faire revenir en France.
Halaman 318 - Gaston de Presles a pris deux drapeaux à Fontenoy? Pourquoi mon grandpère est mort à Quiberon ? C'était pour que M. Poirier fût un jour pair de France et baron!