 | Émile Augier, Jules Sandeau - 1854 - 104 halaman
...plus de cervelle dans ma pantoufle que sous votre chapeau. GASTON. Ah! fi ! voilà qui est trivial... vous parlez comme un homme du commun. POIRIER. Je ne suis pas un marquis, moi ! GASTON. _ ( Ne le dites pas si haut, on finirait par le croire. POIRIER. Qu'on le croie ou non , c'est le cadet... | |
 | Emile Augier - 1856 - 542 halaman
...POIRIER. Slais vous saurez qu'il ya plus de cervelle dans ma pantoufle que sous votre chapeau. GASTON. POIRIER. Je ne suis pas un marquis, moi ! GASTON. Ne le dites pus si haut, on finirait par le croire. POIRIEB. Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis.... | |
 | French literature - 1864 - 446 halaman
...of France. Henri IV., the other of Louis XVI., " ' to chaff.' made considerable reforma in the Foi. Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie, Dieu merci ! je n'en fais pas assez de cas pour cela. Gas. Vous n'en faites pas de cas ? Poi. Non,... | |
 | Prosper Poitevin - 1865 - 548 halaman
...chapeau. GASTON. — Ah! fi! voilà qui est trivial... vous parlez comme un homme du commun. POIBIEH. — Je ne suis pas un marquis, moi ! GASTON. — Ne le dites pas si haut, on finirait par le croire. POIBIEB. — Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis. Je juge les hommes sur leur mérite... | |
 | Émile Augier - 1870 - 430 halaman
...plus de cervelle dans ma pantoufle que sous votre chapeau. GASTON. Ah ! fi ! voilà qui est trivial... vous parlez comme un homme du commun. POIRIER. Je ne suis pas un marquis, moi 1 GASTON. Ne le dites pas si haut , on finirait par le croire. Qu'on le croie ou non , c'est le cadet... | |
 | Emile Augier - 1878 - 476 halaman
...plus de cervelle dans ma pantoufle que sous votre chapeau. GASTON. Ah! fi! voilà qui est trivial... vous parlez comme un homme' du commun. POIRIER. Je...soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie, Dieu merci! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON. Vous n'en faites pas de cas? POIRIER.... | |
 | Richard Adolf Ploetz - 1878 - 848 halaman
...chapeau. GASTON. Ah! fi! voilà qui est trivial .... vous parlez comme un homme du commun. POIKIEB. Je ne suis pas un marquis, moi! GASTON. Ne le dites...soucis.* Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie, Dieu merci! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON. Vous n'en faites pas de cas? POIRIKR.... | |
 | Émile Augier - 1882 - 470 halaman
...GASTON. Où prenez-vous cela? POIRIER. GASTON. Ah! fi! voilà qui est trivial... vousparlez comme unhomme du commun. POIRIER. Je ne suis pas un marquis, moi...soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie, Dieu merci! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON. Vous n'en faites pas de cas? POIRIER.... | |
 | Guillaume Victor Emile Augier - 1886 - 472 halaman
...prenez-vous cela? GASTON. POIRIER. GASTON. Ah! fi! voilà qui est trivial... vous parlez comme un kommo du commun. POIRIER. Je ne suis pas un marquis, moi!...on finirait par le croire. POIRIER. Qu'on le croie on non, c'est le cadet de mes soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie, Dieu merci!... | |
 | Émile Augier, Jules Sandeau - 1888 - 144 halaman
...vous parlez comme un homme du commun. POIRIER.—Je ne suis pas un marquis, moi ! POIHIEH.—Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie, Dieu merci ! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON.—Vous n'en faites pas de cas ? POIRIER.—Non,... | |
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GASTON. Ne le dites pas si haut, on finirait par le croire. POIRIER. Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie. Dieu merci! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON. 
