Oeuvres complètes de Cicéron, Jilid 5J.J. Dubochet et Compagnie, 1843 |
Edisi lain - Lihat semua
Istilah dan frasa biasa
adhuc aliquid animo apud Arpinum atque ATTICUS autem avez Bibulus Brindes Cæsarem Cæsaris César CICERO ATTICO CICÉRON Cilicie consilium consul Curion ejus enim epistola erat erit esse esset etsi facere fuisse hæc hominem homines igitur illa ille illo illud illum ipse ipsum Itaque j'ai kalendes Lentulus lettre literis maxime meæ meam mehercule meis meum mihi minus modo multa neque nescio nihil nisi nobis noster nostrum nunc nunquam omnes omnia omnibus Parthes paullo Pompée Pompeio Pompeius posse possum potest potius præsertim præter primum puto quæ quæris quam quibus quid quidem quin Quintus quod quoniam quos quum rebus reipublicæ rien Romæ Rome sæpe scire scribam scribis scripsi sed etiam Sed tamen sénat senatus sesterces sine spero summa sunt tempore tibi tuæ tuam tuis tuum valde velim vero video videre
Petikan popular
Halaman 132 - Sed heus tu ! celari videor a te. Quomodonam, mi frater, de nostris versibus Caesar ? Nam primum librum se legisse scripsit ad me ante et prima sic ut neget se ne Graeca quidem meliora legisse ; reliqua ad quendam locum paöv/хоге/эа ; гс hoc enim utitur verbo.
Halaman 269 - soit commune. Dans l'un des partis, j'ai des obligations »de reconnaissance et des amitiés; dans l'autre, c'est la » cause et non les hommes que je hais. Mes principes, que » vous partagez sans doute, sont ceux-ci : dans les dissen...
Halaman 307 - D'un autre côté, lorsque je trouve en Pompée et mon libérateur et mon ami particulier, lorsque je considère surtout que sa cause est celle de la république , il me semble que je ne puis prendre d'autre parti que le sien ni suivre d'autre fortune. De plus, si je demeure en Italie et...
Halaman 241 - Siaipeaiv quod duobus generibus edicendum putavi. Quorum unum est provinciale in quo est de rationibus civitatum, de aere alieno, de usura, de syngraphis, in eodem omnia de publicanis...
Halaman 26 - II opine, écrivait Cicéron, comme dans la république de Platon, et nous sommes la lie de Romulus.
Halaman 34 - Le pauvre, le faible sonl toujours admis, je ne dis pas à votre tribunal, c'est le commun refuge, mais dans votre demeure, dans votre plus secret asile. Enfin rien n'est dur ou blessant dans vos actes; tout y respire l'indulgence, la douceur et la bonté. » Et ailleurs il s'écrie : « C'est quelque chose d'admirable que...
Halaman 33 - L'administration revient aux mains de la classe éclairée. La Mysie est purgé« de brigands. Partout le meurtre est réprimé et la paix affermie dans la province. La sûreté est rendue aux chemins et aux campagnes, et, qui plus est , aux villes et aux temples, où le vol et le pillage s'exerçaient avec plus d'audace encore et de succès. On peut être riche sans voir SOH honneur, sa fortune , son repos à la merci de la délation, ce ministre impitoyable de l'avidité des préteurs.
Halaman 236 - lui dis-je ; et, l'ayant fait retirer, je demandai aux autres combien ils devaient : il se trouva que ce n'était que cent six talens.
Halaman 308 - Le chemin de Rome n'est-il pas ouvert à notre ennemi? Ne lui avons-nous pas livré tout le bien des particuliers et tout l'argent du trésor public? Enfin, nous n'avons point de parti formé, nous manquons de troupes, nous n'occupons aucun poste où puissent se rassembler ceux qui sont bien intentionnés. On s'est retiré dans la Fouille, qui est la province la plus dénuée de subsistances, la plus faible et la plus reculée de l'Italie.
Halaman 35 - Les heurter de front, ce serait nous '•aliéner l'ordre à qui nous devons le plus, briser le lien qui l'attache à "nous, et, par nous, à la cause publique. D'un autre côté, en lui concé» dont tout, nous ruinons de fond en comble un peuple que nous sommes » tenus de protéger