Almanach des muses, Jilid 43Claude Sixte Sautreau de Marsy, Charles Joseph Mathon de la Cour, Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne), Marie Justin Gensoul Chez Delalain, 1806 |
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Halaman 90 - A MON PETIT LOGIS. Petit séjour, commode et sain , Où des arts et du luxe en vain On chercherait quelque merveille ; Humble asile où j'ai sous la main Mon La Fontaine et mon Corneille , Où je vis , m'endors et m'éveille , Sans aucun soin du lendemain , Sans aucun remords de la veille ; Retraite où j'habite avec moi , Seul , sans désirs et sans emploi , Libre de crainte et d'espérance ; Enfin , après trois jours d'absence, Je viens , j'accours, je t'aperçoi.
Halaman 239 - Aux saules qui bordaient ces rivages déserts ; Et les cris importuns de nos vainqueurs barbares A nos tribus en deuil demandaient des concerts. Chantez , disaient-ils , vos cantiques ; Répétez-nous ces airs si vantés autrefois; Ces beaux airs que Sion , sous de vastes portiques , Dans les jours de sa gloire admira tant de fois.
Halaman 239 - Assis sur les bords de l'Euphrate , Un tendre souvenir redoublait nos douleurs; Nous pensions à Sion dans cette terre ingrate, Et nos yeux, malgré nous, laissaient couler des pleurs. Nous suspendîmes nos cithares Aux saules qui bordaient ces rivages déserts ; Et les cris importuns de nos vainqueurs barbares A nos tribus en deuil demandaient des concerts. Chantez...
Halaman 252 - Mangés à deux, vous valez mieux encore. Je prise fort tout plaisir clandestin. Or, vous saurez qu'il est de par le monde Jeune beauté, qui n'est brune ni blonde , Dont les cheveux d'un séduisant châtain Vont se jouant sur le plus blanc satin. Si vous voyez nymphe aimable et lutine Au doux regard , au sourire malin , O mes amis, vous direz : C'est Florine.
Halaman 232 - C'est Chaulieu , ce convive aimable , Pour les fleurs, le sommeil, la table , Les beaux vers , les belles , formé ; Chaulieu des Grâces tant aimé , Préchant le plaisir par l'exemple , S'enivrant aux banquets du Temple , D'un vin par le temps parfumé. Amant léger , mais ami rare , Du tendre et délicat La Fare , S'il apprit à sentir l'amour, A La Fare il apprend à boire , Entre les muses et la gloire , Entre les ris et la victoire , Vénus , Vendôme et Luxembourg. Le dur...
Halaman 274 - La Mort de Sapor , suivie de la Génésiade et de la Destruction de l'Olympe ; poèmes par M.
Halaman 239 - ... beaux airs que Sion, sous de vastes portiques, " Dans les jours de sa gloire admira tant de fois." — Comment, au sein de l'esclavage, Pourrions-nous de Sion faire entendre les chants ? Comment redirions-nous, dans un climat sauvage, Du temple du Seigneur les cantiques...
Halaman 159 - Vais un jour vous devra son nom. Vos vers ont le feu de votre âge , Du premier âge des amours ; Et , bravant le moderne usage , Votre prose facile et sage A la raison parle toujours. Ainsi sous la zone brûlante Un jeune arbre aux vives couleurs Devance la saison trop lente , Et mêle des fruits à ses fleurs.
Halaman 249 - Un chantre aimé des dieux moduler sa tristesse, Et l'onde vint plus fière enfler ton doux ruisseau. Sur le feuillage ému, sur le flot qui murmure, L'amour a conservé ses soupirs douloureux. Moi, je te viens offrir les pleurs de la nature : Ne dois-tu pas ton ombre à tous les malheureux...
Halaman 144 - Adieu, passé, songe rapide Qu'anéantit chaque matin ! Adieu, longue ivresse homicide Des Amours et de leur festin, Quel que soit l'aveugle qui guide Ce monde, vieillard enfantin ! Adieu, grands mots remplis de vide, Hasard, Providence ou Destin ! Fatigué dans ma course aride De gravir contre l'incertain, Désabusé comme Candide, Et plus tolérant que Martin, Cet asile est ma Propontide ; J'y cultive en paix mon jardin.