Œuvres complètes de M. de Lamartine, Jilid 8C. Gosselin, 1847 |
Istilah dan frasa biasa
Ablla Alep Antar Arabes armée arriver avez ayant Bagdad Bargiass Bassora Bédouins Beni-Abess bientôt c'était camp cavaliers cent chameaux chef cheval chose civilisation cœur colonies combat Coriétain cousine crime d'aller d'Antar d'enfans Damas demander désert devant Dieu disant Djida donner drayhy dromadaires Ebn-Sihoud Égypte enfans enfans trouvés ennemis envoya esclaves étions famille Faress femmes fille fils force frère gloire guerriers habitans Hama haudag heures hommes Homs hospices humaine Ibrahim j'ai jette jour jument justice Kaled l'émir l'ennemi l'Europe l'homme l'humanité laisser Lascaris législation lendemain liberté lois machlas main Mallek Méhanna ment mère Mésopotamie Messieurs mille mœurs morale Nasser nation nègres nuit osmanlis pacha Palmyre passé pays peine de mort pénalité pendant pensée père peuple piastres population propriété race reste rien route s'était sabre sang scheik Scheik-Ibrahim serait seul sociale société sorte Syrie tentes terre tête tion tribu troupeaux Turcs venir village Wahabis Zaher Zohéir
Petikan popular
Halaman 420 - Le sang-froid de leurs fronts couvre un foyer ardent; Chevaliers tombés rois des mains de Charlemagne, Leurs chefs sont les Nestors des conseils d'Occident. Leur langue a les grands plis du manteau d'une reine, La pensée y descend dans un vague profond ; Leur cœur sûr est semblable au puits de la sirène, Où tout ce que l'on jette, amour, bienfait ou haine, Ne remonte jamais du fond.
Halaman 417 - Roule, libre et superbe entre tes larges rives, Rhin ! Nil de l'Occident ! coupe des nations ! Et des peuples assis qui boivent tes eaux vives Emporte les défis et les ambitions...
Halaman 233 - Tu n'oublieras pas que la propriété n'est pas seulement instituée pour toi, mais pour l'humanité tout entière ; tu ne la possèdes qu'à des conditions de justice, d'utilité, de répartition, d'accession pour tous ; tu fourniras donc à tes frères, sur le superflu de ta propriété, les moyens et les élémens de travail qui leur sont nécessaires pour posséder leur part à leur tour...
Halaman 369 - ... mémoire ; je ne suis pas de cette religion napoléonienne, de ce culte de la force que l'on veut, depuis quelque temps, substituer dans l'esprit de la nation à la religion sérieuse de la liberté. Je ne crois pas qu'il soit bon de déifier ainsi sans cesse la guerre, de surexciter ces bouillonnements déjà trop impétueux du sang français, qu'on nous représente comme impatient de couler après une trêve de vingtcinq ans; comme si la paix, qui est le bonheur et la gloire du monde, pouvait...
Halaman 421 - Rapportons-en le blé, l'or, la laine et la soie, Avec la liberté, fruit qui germe en tout lieu! Et tissons de repos, d'alliance et de joie L'étendard sympathique où le monde déploie L'unité, ce blason de Dieu...
Halaman 368 - ... postérité dans les choses, j'ose l'avouer devant vous, devant cette Chambre, devant cette nation passionnée pour une mémoire, ce n'est pas sans un certain regret que je vois les restes de ce grand homme descendre trop tôt peut-être de ce rocher au milieu de l'Océan, où l'admiration et la pitié de l'univers allaient le chercher à travers le prestige de la distance et à travers l'abîme de ses malheurs.
Halaman 420 - Amis, voyez là-bas ! — La terre est grande et plane! L'Orient délaissé s'y déroule au soleil! L'espace y lasse en vain la lente caravane, La solitude y dort son immense sommeil! Là, des peuples taris ont laissé leurs lits vides...
Halaman 419 - Et pourquoi nous haïr, et mettre entre les races Ces bornes ou ces eaux qu'abhorre l'œil de Dieu ? De frontières au ciel voyons-nous quelques traces? Sa voûte at-elle un mur, une borne, un milieu?
Halaman 322 - Lorsqu'un de ces pauvres enfants que la misère abandonne , ou dont la honte veut cacher la naissance, est apporté la nuit au seuil d'un hospice où on l'attend à toute heure, il est déposé dans un tour, ingénieuse invention de la charité chrétienne, qui a des mains pour recevoir, et qui n'a point d'yeux pour voir, point de bouche pour révéler (Sensation).
Halaman 425 - Thoune, sur ta mer, Dont l'écume à la main ne laisse rien d'amer ; De tes flots, bleu miroir, ces Alpes sont la dune. Il est nuit ; sur ta lame on voit nager la lune : Elle fait ruisseler sur son sentier changeant Les mailles de cristal de son filet d'argent, Et regarde à l'écart, des bords d'un autre monde, Les étoiles ses sœurs se baigner dans ton onde M.