Histoire de Napoléon et de la grande armée pendant l'année 1812, Jilid 1Baudouin, 1824 - 896 halaman |
Istilah dan frasa biasa
Alexandre armée armes attaque avaient Bagration Barclay Belliard Bérézina Bernadotte Berthier bientôt blessés Bobruisk bois Borodino Borysthène c'était canons cavalerie cent champ de bataille CHAPITRE chef chevaux colonne combat commander corps Cosaks d'Alexandre Davout derrière devant divisions Dnieper Drissa Düna enfin eût fallait fatigues feux flanc fleuve force garde gauche général gloire Grodno guerre hauteurs jours jusqu'à Kologha Kowno Kutusof l'armée ennemie l'armée russe l'em l'empereur l'ennemi l'Europe laisser ligne d'opération Lithuanie Lithuaniens marche maréchal mée ment milieu mille hommes ministre Minsk Mohilef Mojaïsk Moscou mouvement Murat n'avait n'était Napo Napoléon Niémen nuit officiers Orcha ordres Oudinot paix passé pereur Pétersbourg Polonais Polotsk position poussait pouvait premier prince prince d'Eckmühl Prusse qu'à ravin redoute régiment reste retraite rive route s'arrêter s'écria s'était semblait sentait seul Smolensk soldats succès Suède surtout terrain tion tout-à-coup troupes trouva Valoutina venait Viazma victoire Vilia Vistule Vitepsk vivres Wilna Wittgenstein
Petikan popular
Halaman 372 - Soldats! voilà la bataille que vous avez tant désirée ! Désormais la victoire dépend de vous ; elle nous est nécessaire , elle nous donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver et un prompt retour dans la patrie...
Halaman 133 - Elle ne veut donner aucune explication de son étrange conduite que les aigles françaises n'aient repassé le Rhin, laissant par là nos alliés à sa discrétion. La Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir.
Halaman 153 - Si vos efforts sont unanimes, vous pouvez concevoir l'espoir de réduire vos ennemis à reconnaître vos droits. Mais, dans...
Halaman 377 - disait-il; « un métier de barbares où tout l'art consiste à être le » plus fort sur un point donné.
Halaman 144 - Cosaques, ce jour-là, comme les suivants, le ciel seul se montra notre ennemi. En effet, à peine l'empereur avait-il passé le fleuve qu'un bruit sourd avait agité l'air. Bientôt le jour s'obscurcit, le vent s'éleva et nous apporta les sinistres roulements du tonnerre. Ce ciel menaçant, cette...
Halaman 50 - Napoléon est saisi d'éton» nement et de colère Il s'écrie, en » frappant violemment cette lettre et » la table sur laquelle elle est ouverte : » Lui ! le misérable ! il me donne des » conseils! il veut me faire la loi! il » m'ose proposer une infamie ! etc » Dès lors ses instructions se ressenti
Halaman 410 - On apercevait des Russes se traînant jusqu'aux lieux où l'entassement des corps leur offrait une horrible retraite. Beaucoup assurent qu'un de ces infortunés vécut plusieurs jours dans le cadavre d'un cheval ouvert par un obus, et dont il rongeait l'intérieur. On en vit redresser leur jambe brisée, en liant fortement contre elle une brandie d'arbre, puis s'aider d'une autre branche, et marcher ainsi jusqu'au village le plus prochain.
Halaman 153 - L'amour de son pays est le premier devoir de l'homme civilisé. « Dans ma situation, j'ai beaucoup d'intérêts à concilier et beaucoup de devoirs à remplir. Si j'avais régné pendant le premier, le second, ou le troisième partage de la Pologne, j'aurais armé mes peuples pour la défendre. « J'aime votre nation ! Pendant seize ans j'ai vu vos soldats à mes côtés, dans les champs d'Italie et dans ceux de l'Espagne.
Halaman 144 - Tout-à-coup il s'enfonça à travers le pays, dans la forêt qui bordait le fleuve. Il courait de toute la vitesse de son cheval ; dans son empressement il semblait qu'il voulût tout seul atteindre l'ennemi. Il...
Halaman 143 - ... réunie. A trois cents pas du fleuve, sur la hauteur la plus élevée, on apercevait la tente de l'empereur. Autour d'elle toutes les collines, leurs pentes, les vallées, étaient couvertes d'hommes et de chevaux. Dès que la terre eut présenté au soleil toutes ces masses mobiles, revêtues d'armes étincelantes, le signal fut donné, et aussitôt cette multitude commença à s'écouler en trois colonnes vers les trois ponts. On les voyait serpenter en descendant la courte plaine qui les séparait...