Dernier tableau de Paris: ou, Récit historique de la Révolution du 10 aôut 1972 ...Chez l'Auteur ... et chez Elmsly, 1794 |
Istilah dan frasa biasa
10 Août accufés affaffins affez ainfi auffi avaient bourreaux Briffot brigands c'eft c'eſt caufes ceffe citoyens claffes comité commiffaires commiffion compofée Conciergerie Condorcet confeil confolation conftitution conftitutionnel convention nationale crimes d'inv d'Orléans Danton déja départemens député derniere Dumouriez efprit enfans enfuite eſt fabre Fabre d'Eglantine facré faction faifait falut fang fans fauver Fayette fe trouvait fecond fecret femblait fentiment fera fervir feul figné fociété foir foit font force fous fuite fupplice garde nationale Gorfas haute cour hommes idem Jacobins jour jufqu'à juftice juges l'Abbaye l'accufation l'affemblée l'assemblée nationale laiffer Lamballe lifte loix lorfque Louis XVI Madame maffacres malheureux Marat Marfeillois Méard minif miniftre Montgon Montmorin mort n'eft officier paffer perfonnes Pétion peuple philofophe plufieurs préfente premiere prêtres prifonniers prifons Princeffe raifon Récl Réclufion refpect refte révolution Rochefoucauld Roland Santerre Septembre Suiffes tems tion tribunal vengeance victimes دو
Petikan popular
Halaman 33 - Je recommande à mon fils d'avoir soin de toutes les personnes qui m'étaient attachées, autant que les circonstances où il se trouvera lui en donneront les facultés de songer que c'est une dette sacrée que j'ai contractée envers les enfants ou les parents de ceux qui ont péri pour moi, et ensuite de ceux qui sont malheureux pour moi.
Halaman 34 - Hue que leur véritable attachement pour moi avait portés à s'enfermer avec moi dans ce triste séjour, et qui ont pensé en être les malheureuses victimes. Je lui recommande aussi Cléry des soins duquel j'ai eu tout lieu de me louer depuis qu'il est avec moi.
Halaman 31 - Dieu de me pardonner tous mes péchés; j'ai cherché à les connaître scrupuleusement, à les détester et à m'humilier en sa présence, ne pouvant me servir du ministère d'un prêtre catholique. Je prie Dieu de...
Halaman 33 - ... j'éprouve; qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois : mais en même temps qu'un roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.
Halaman 32 - Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu'elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union, comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle, si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.
Halaman 367 - Hier... fut un jour sur les événements duquel il faut peut-être laisser un voile; je sais que le peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice : il ne prend pas pour victime tout ce qui se présente à sa fureur; il la dirige sur ceux qu'il croit avoir été trop longtemps épargnés par le glaive de la loi, et que le péril des circonstances lui persuade devoir être immolés sans délai.
Halaman 32 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment...
Halaman 30 - France, étant depuis plus de quatre mois enfermé avec ma famille dans la tour du Temple, à Paris , par ceux qui étaient mes sujets, et privé de toute communication quelconque, même depuis le onze du courant, avec ma famille ; de plus impliqué dans un procès dont il est impossible de prévoir l'issue à cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun prétexte ni...
Halaman 372 - Prévenue que des hordes barbares s'avancent contre la capitale, la commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Halaman 371 - ... L'eût-on pensé ! Dès lors de nouveaux complots non moins atroces se sont tramés dans le silence; ils éclataient au moment même où l'Assemblée nationale, oubliant qu'elle venait de déclarer que la commune de Paris avait sauvé la patrie, s'empressait de la destituer pour prix de son brûlant civisme. A cette nouvelle, les clameurs publiques élevées de toutes parts ont fait sentir à l'Assemblée nationale la nécessité urgente de s'unir au peuple et de rendre à la commune, par le...