Mémoires du chevalier d'Éon: pub. pour la première fois sur les papiers fournis par sa famille, et d'après les matériaux authentiques déposés aux Archives des affaires étrangères, Jilid 1Ladvocat, 1836 |
Edisi lain - Lihat semua
Istilah dan frasa biasa
affaires aime amour appelé arrivé aurait avaient avant bonne bras Broglie C'était cause chargé cher chevalier d'Eon chose coeur compte comte de Guerchy comtesse Conti côté coup cour d'elle d'Éon demande demeuré dernier devant dire doit donner Douglass doute duc de Nivernais duc de Praslin écrit effet Elisabeth enfant enfin eût faisait femme force général guerre haut heures homme j'ai jeté jeune jouer jour jusqu'à l'ambassadeur l'autre L'Hospital l'impératrice l'un laissé lettre livres Londres Louis XV madame main maison majesté mari marquis ment ministre monde monsieur mort n'avait n'en n'était Nadège nouveau nouvelle ordres parle passer pauvre peine pendant pensée personne petit petite pied place Pompadour porte pouvait première présent presque prince pris qu'un regard répondit reste rien Russie s'en s'était s'il seconde secret sentiments serait seul sieur signé sorte suite terre tête tion traité trouver venir Vergy vérité Versailles Voilà voyage yeux
Petikan popular
Halaman 172 - Russie par les uns ou par les autres, et exercer sur le pays une espèce de protection qui prépare la domination future. XI. » Intéresser la maison d'Autriche à chasser le Turc de l'Europe, et neutraliser ses jalousies lors de la conquête de Coustantinople , soit en lui suscitant une guerre avec les anciens états de l'Europe , soit en lui donnant une portion de la conquête , qu'on lui reprendra plus tard.
Halaman 173 - Baltique. S'avançant par la Méditerranée et par l'Océan, elles inonderaient la France d'un côté , tandis que l'Allemagne le serait de l'autre, et, ces deux contrées vaincues , le reste de l'Europe passerait facilement et sans coup férir sous le joug. « AINSI PEUT ET DOIT ÊTRE SUBJUGUÉE L'EUROPE.
Halaman 280 - Quand elle en fut à ces vers : « On dépouille Tancrède , on l'exile , on l'outrage : « C'est le sort d'un héros d'être persécuté... « Tout son parti se tait : qui sera son appui ? « Sa gloire ! « Un héros qu'on opprime attendrit tous les cœurs...
Halaman 302 - ... une lettre de sa main , où il lui disait : « Je sais que vous m'avez servi aussi utilement sous les habits de femme que sous ceux que vous portez actuellement. Reprenez-les de suite...
Halaman 93 - Francfort sur l'Oder, et de là à Dantzick par la route qui lui conviendra le mieux. Il séjournera dans cette ville pendant plusieurs jours pour tâcher d'approfondir la cause des démêlés qui subsistent depuis quelques années entre le magistrat et la bourgeoisie, et pénétrer, s'il est possible, les causes de ces dissensions, ce qui les fomente, et si elles sont soutenues par quelque puissance étrangère. De là il continuera sa...
Halaman 170 - Diviser la Pologne en y entretenant le trouble et les jalousies continuelles : gagner les puissants à prix d'or ; influencer les diètes, les corrompre, afin d'avoir action sur les élections des...
Halaman 171 - IX. Approcher le plus possible de Constantinople et des Indes. Celui qui y régnera sera le vrai souverain du monde. En conséquence, susciter des guerres continuelles, tantôt au Turc, tantôt à la Perse, établir des chantiers sur la mer Noire, s'emparer peu à peu de cette mer, ainsi que de la Baltique, ce qui est un double point nécessaire à la réussite du projet ; hâter la décadence de la Perse; pénétrer jusqu'au golfe Persique; rétablir, si c'est possible, par la Syrie, l'ancien commerce...
Halaman 169 - ... et choisir les moments opportuns pour l'attaque. Faire ainsi servir la paix à la guerre , et la guerre à la paix, dans l'intérêt de l'agrandissement et de la prospérité croissante de la Russie.
Halaman 170 - VI. Prendre toujours les épouses des princes russes parmi les princesses d'Allemagne, pour multiplier les alliances de famille, rapprocher les intérêts, et unir d'elle-même l'Allemagne à notre cause en y multipliant notre influence.
Halaman 92 - ... compter de ce qui se passe en Russie, il convenait d'y envoyer, sans aucune qualité apparente ni secrète, une personne capable de bien examiner par elle-même cette cour et d'en venir rendre compte ensuite. Un Français ne pouvait être propre à cette commission. Malgré l'amitié que l'on suppose toujours que l'Impératrice de Russie a pour Sa Majesté et son penchant pour la nation française, un sujet du Roi serait certainement trop observé en Russie par le ministère pour qu'il y pût...