Les derniers Bourbons: le duc de Berry et Louvel, les favorites de Louis XVIII, la dernière maitresse du comte d'Artois, la femme du duc d'EnghienCharavay frères, 1883 - 242 halaman |
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Halaman 202 - Dumouriez, qui devait être dans nos environs ; on croyait apparemment que nous avions eu des conférences ensemble, et apparemment il est impliqué dans la conjuration contre la vie du Premier Consul. Mon ignorance de tout cela me fait espérer que je pourrai obtenir ma liberté; mais cependant, ne nous flattons pas encore.
Halaman 206 - Real connu par son activité et sa pénétration , fut attaché au département du grandjuge ministre de la justice et spécialement chargé de l'instruction et de la suite de toutes les affaires relatives à la tranquillité et à la sûreté intérieure de la République '. Ces dispositions annonçaient un danger et que le gouvernement était sur ses gardes.
Halaman 202 - D'après ce que j'ai vu, on trouvera des lettres de mes parents, du Roi, et quelques copies des miennes. Tout cela, comme vous le savez, ne peut me compromettre en rien de plus que mon nom et ma façon de penser ne l'ont pu faire pendant le cours de la Révolution.
Halaman 208 - Dieu! à quel affreux malheur étais-je réservée? Au milieu des plus cruels tourments, des inquiétudes les plus douloureuses, jamais l'horrible crainte qu'ils pussent attenter à sa vie ne s'était offerte à ma pensée. Hélas ! il n'est que trop vrai cependant, que le malheureux a été leur victime, que ce jugement inique, que ce jugement atroce, auquel tout mon être se refusait à croire, a été prononcé, exécuté à l'instant même. Je n'ai pas le courage d'entrer dans les détails de...
Halaman 203 - On croyait apparemment que nous avions eu des conférences ensemble, et apparemment il est impliqué dans la conjuration contre la vie du Premier Consul. Mon ignorance de tout cela me fait espérer que je pourrai obtenir ma liberté; mais cependant ne nous flattons pas encore. Si quelqu'un de ces messieurs sont libres avant moi, j'aurai un bien grand bonheur ;à vous les renvoyer, en attendant le plus grand.
Halaman 211 - Que de bontés, que d'amitiés j'éprouve de toutes parts! C'est à lui que j'en fais hommage. Comment tout ce qui l'a connu ne me plaindrait-il pas? Perdre à la moitié de sa carrière l'être qu'on aimait le plus, celui dont on était uniquement aimée! — Le perdre, hélas! Comment? Oh! mon amie, que de détails déchirants! Que de circonstances cruelles!
Halaman 210 - ... bien qu'elle lui appartenait, et tant que je conserve l'espoir de connaître son vœu, je ne me déciderai point. Qu'importe où je traînerai les jours qu'ils m'ont laissés, sans intérêt, sans but; car, vous le savez, chère comtesse, bonheur, espérance, tout dépendait de lui, tout reposait sur lui. Plaignez, ah! plaignez votre malheureuse amie, chère comtesse ; jamais on ne fut plus sensiblement, plus profondément malheureuse. Nous ignorons encore le sort de ceux qui l'ont suivi. Tous...
Halaman 214 - Ils savaient déjà à quoi s'en tenir, car une grande partie de mes lettres se trouvait dans ses papiers ; mais les miens étaient en règle, et après avoir, sous le prétexte de l'intérêt, tenté de me faire dire ce qu'ils imaginaient que je savais, ils se retirèrent. Ce fut dans cette conversation que je sus par eux qu'il existait un testament de lui, fait depuis plus d'un an, dont il leur avait demandé de ne pas prendre lecture, mais auquel il avait obtenu d'eux la permission d'ajouter quelques...
Halaman 202 - J'ai été conduit par Rheinau et la route du Rhin. On me témoigne égards et politesse ; je puis dire qu'à la liberté près, car je ne puis sortir de ma chambre, je suis aussi bien que possible; tous ces messieurs ont couché avec moi parce que je l'ai désiré ; nous occupons une partie de l'appartement du commandant, et l'on m'en fait préparer un autre dans lequel j'entrerai ce matin et où je serai encore mieux. On doit examiner les papiers que l'on m'a pris, et qui ont été cachetés sur-le-champ...
Halaman 144 - D'ordinaire, il demeurait le dos tourné, assis dans un fauteuil devant la cheminée, la main appuyée sur sa canne à pommeau, dont l'ombre, lorsqu'on la projetait en silhouette, formait le profil de Louis XVI. Il avait la manie de fourrer le bout de cette canne dans son soulier.