Le gendre de M. Poirier: comédie en quatre actesH. Holt, 1899 - 95 halaman "Le Gendre de M. Poirier" is a comedy of manners based on the old antagonism between vulgar ignorant energy and ability on the one side, and lazy empty birth and breeding on the other; embodied in Poirier, a wealthy shopkeeper, and M. de Presles, his son-in-law, an impoverished nobleman. |
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Le gendre de M. Poirier: comédie en quatre actes, en prose Émile Augier,Jules Sandeau Paparan penuh - 1904 |
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Halaman 53 - POIRIER. Savez-vous, monsieur le duc, pourquoi j'ai travaillé quatorze heures par jour pendant trente ans? pourquoi j'ai amassé, sou par sou, quatre millions, en me privant de tout? C'est afin que monsieur le marquis Gaston de Presles, qui n'est mort ni à Quiberon, ni à Fontenoy, ni à La Hogue, ni ailleurs, puisse mourir de vieillesse sur un lit de plume, après avoir passé sa vie à ne rien faire. LE Duc. Bien répliqué, monsieur! GASTON. Voilà qui promet pour la tribune!
Halaman 94 - ... sages que les fous. Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes. Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi ; Je m'écarte, je vais détrôner le sophi ; On m'élit roi, mon peuple m'aime ; Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant : Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même? Je suis gros Jean comme devant.
Halaman 49 - GASTON. Ne le dites pas si haut, on finirait par le croire. POIRIER. Qu'on le croie ou non, c'est le cadet de mes soucis. Je n'ai aucune prétention à la gentilhommerie. Dieu merci! je n'en fais pas assez de cas pour cela. GASTON. Vous n'en faites pas de cas? POIRIER. Non monsieur, non! Je suis un vieux libéral, tel que vous me voyez; je juge les hommes sur leur mérite, et non sur leurs titres ; je me ris des hasards de la naissance; la noblesse ne m'éblouit pas, et je m'en moque comme de l'an...
Halaman 23 - POIRIER. Ça n'est pas intéressant, ce sujet-là, ça ne dit rien! J'ai dans ma chambre une gravure qui représente un chien au bord de la mer, aboyant devant un chapeau de matelot... à la bonne heure ! ça se comprend, c'est ingénieux, c'est simple et touchant. GASTON. Eh bien, monsieur Poirier, puisque vous aimez les tableaux touchants, je vous en ferai faire un d'après un sujet que j'ai pris moi-même sur nature : Il y avait sur une table un petit oignon coupé en quatre, un pauvre petit oignon...
Halaman 50 - Une arrière-pensée ? GASTON Permettez ! Votre fille ne m'aimait pas quand vous m'avez attiré chez vous; ce n'étaient pas mes dettes qui m'avaient valu l'honneur de votre choix ; puisque ce n'est pas non plus mon titre, je suis bien obligé de croire que vous aviez une arrière-pensée. POIRIER, se rasseyant.
Halaman 50 - Quand même, monsieur!... quand j'aurais tâché de concilier mes intérêts avec le bonheur de mon enfant ? Quel mal y verriez-vous ? Qui me reprochera, à moi qui donne un million de ma poche, qui me reprochera de choisir un gendre en état de me dédommager de mon sacrifice, quand d'ailleurs il est aimé de ma fille ? J'ai pensé à elle d'abord, c'était mon devoir; à moi ensuite, c'était mon droit. GASTON Je ne conteste pas, monsieur Poirier. Vous n'avez eu qu'un tort, c'est de manquer de...
Halaman 49 - POIRIER. Mais vous saurez qu'il ya plus de cervelle dans ma pantoufle que sous votre chapeau. . GASTON. Ah! fi! voilà qui est trivial... vous parlez comme un homme du commun.
Halaman 53 - Gaston de Presles a pris deux drapeaux à Fontenoy? Pourquoi mon grandpère est mort à Quiberon ? C'était pour que M.
Halaman 49 - POIRIER. Cher Gaston, cher garçon . . . c'est tout un. ... De beau-père à gendre, la familiarité est permise. GASTON. Et de votre part, monsieur Poirier, elle me flatte et m'honore. . . . Vous disiez donc que votre première réforme?
Halaman 53 - C'est afin que monsieur le marquis Gaston de Presles, qui n'est mort ni à Quiberon, ni à Fontenoy, ni à La Hogue, ni ailleurs, puisse mourir de vieillesse sur un lit de plume, après avoir passé sa vie à ne rien faire. LE DUC. Bien répliqué, monsieur ! GASTON. Voilà qui promet pour la tribune LE DOMESTIQUE.