Émile. PolitiqueHachette, 1857 |
Kandungan
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Istilah dan frasa biasa
aime assez auroit avoient avoit besoin bonheur choses chrétiens citoyens cœur comices connoissance connoître Conseil général consistoire Contrat social corps crime d'Émile d'être devoirs Dieu dire doctrine dogmes doit donner Émile enfans état étoient étoit eût faisoit femme foible force Genève gens goût gouvernemens gouvernement grabelé humain j'ai j'avois j'étois jamais Jean Morelli jeune homme jugement l'amour l'auteur l'autre l'esprit l'État l'homme laisse législateur liberté livre lois lui-même magistrats maître maximes ment mieux miracles mœurs monde monsieur morale n'en n'étoit nature naturel objet parler paroît particulier passer passions penser père personne petit Conseil peuple philosophie Pierre Duval Plutarque politique pourroit pouvoir premier principe puissance puisse punir qu'à qu'un raison religion rendre reste rien s'il sage sait savoir sens sentimens sentiment sera seroient seroit seul sexe sitôt Socrate soin Sophie sophisme sorte souverain Sparte sûr syndics toyens trouve vérité vertu veut Voilà vois voit volonté générale vrai yeux
Petikan popular
Halaman 579 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Halaman 98 - Du sein du plus furieux fanatisme, la plus haute sagesse se fit entendre , et la simplicité des plus héroïques vertus honora le plus vil de tous les peuples. La mort de Socrate philosophant tranquillement avec ses amis est la plus douce qu'on puisse désirer; celle de Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé , maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre.
Halaman 80 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal , qui rends l'homme semblable à Dieu! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de .ses actions...
Halaman 375 - Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire ? Quelle douceur ! quelle pureté dans ses mœurs ! quelle grâce touchante dans ses instructions ! quelle élévation dans ses maximes ! quelle profonde sagesse dans ses discours ! quelle présence d'esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme ,, où est le sage qui sait agir , souffrir et mourir , sans faiblesse et sans ostentation?
Halaman 580 - ... par où l'on voit qu'il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social.
Halaman 581 - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
Halaman 29 - Il a une grâce inimitable à peindre les grands hommes dans les petites choses, et il eSt si heureux dans le choix de ses traits que souvent un mot, un sourire, un geSte lui suffit pour caractériser son héros.
Halaman 97 - C'est dans ce grand et sublime livre que j'apprends à servir et adorer son divin auteur. Nul n'est excusable de n'y pas lire, parce qu'il parle à tous les hommes une langue intelligible à tous les esprits.
Halaman 67 - Qu'on me montre un autre animal sur la terre qui sache faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil. Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ? je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu; je puis contempler l'univers, m'élever à...
Halaman 98 - Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie? Quelle distance de l'un à l'autre ! Socrate, mourant sans douleur, sans ignominie, soutint aisément jusqu'au bout son personnage; et si cette facile mort n'eût honoré sa vie, on douterait si Socrate, avec tout son esprit, fut autre chose qu'un sophiste.