Histoire philosophique et politique de Russie, par J. Esneaux et L. E. Chennechot, Jilid 41830 |
Istilah dan frasa biasa
Alexis armée assez avaient avant bientôt c'était caractère Catherine cent charge Charles chercher conduite côté coup cour couronne crime d'abord d'autres déclarer demande dernier despotisme dessein devait diète dire doit donner doute effet enfin États eût faisait faveur favori femme fils force forme gardes général gens gouvernement Grecs guerre hommes intérêts jeune jour jugement jusqu'à l'empire l'impératrice l'un laisser liberté lieu long-temps lui-même main maison malheureux menace ment mille ministre montra mort moyen n'avait n'en n'était nation nombre nommé nouveau nouvelle ordre paix passer pays peine pendant père personne peuple peut-être Pierre place plutôt Pologne port pouvait pouvoir premier presque prince princesse pris projet propre Prusse puissance qu'à qu'une règne rend reste rien Russie s'en s'était s'il Saint-Pétersbourg semble sentiment serait seul sorte souverain succès Suède suite suivant sujets surtout tête tion titre traité trône troupes trouver tsar Turks venait voyait yeux
Petikan popular
Halaman 270 - ... l'univers, que je renonce, pour toute ma vie, au gouvernement dudit empire, ne souhaitant d'y régner, ni souverainement, ni sous aucune autre forme de gouvernement, sans aspirer même d'y parvenir jamais, par quelque secours que ce puisse être.
Halaman 264 - ... point inquiéter : les soldats m'appellent leur père ; ils disent qu'ils aiment mieux être gouvernés par un homme que par une femme ; je me promène seul, à pied, dans les rues de Pétersbourg ; si quelqu'un me voulait du mal, il ya longtemps qu'il aurait exécuté son dessein ; mais je fais du bien à tout le monde, et je me confie uniquement à la garde de Dieu ; avec cela je n'ai rien à craindre.
Halaman 466 - ... c'est un acte de générosité, que de concert avec les deux puissances voisines de la Pologne, la cour de Russie se soit prêtée à mettre fin à l'anarchie qui la désolait, à lui assurer une existence mieux réglée, plus heureuse et plus tranquille.
Halaman 294 - ... pousser tous les progrès que les mo« dernes ont faits dans les arts. Or, « toute nation sans lumières , lors« qu'elle cesse d'être ou sauvage, ou « fanatique, ou féroce, est une nation « avilie, et qui, à moins d'un miracle « de la fortune, ne tardera pas à être « subjuguée. » Néanmoins, à l'époque dont nous nous occupons, la Turquie, avec un sultan mieux instruit de la politique européenne, et appuyée du Khan de Crimée, aurait pu...
Halaman 117 - Ce sont moins les forces et les fatigues qui produisent de grands effets que la volonté. Je suis homme et mortel, à qui laisserai-je le soin de conserver et de finir ce que j'ai commencé?... Combien de fois vous ai-je exhorté?
Halaman 471 - Nou» velle-Netze dans la partie de la Pomérélie » qu'il occupait déjà. La cour de Pétersbourg » intervint dans cette affaire , et le roi de Prusse » s'engagea de resserrer les limites de son » cordon, à condition que la cour de Vienne » en ferait autant. » Ainsi s'annonçaient, dès 1774» lfis envahissements nouveaux qui, vingt ans plus tard, devaient absorber la Pologne entière.
Halaman 132 - JLikin , ex-favori , pour avoir dit au tsarévitch , outre c/es mêmes paroles : « Entrez dans un monastère, on ne vous clouera pas le froc sur la tête ; » un prince Dolgorouki, pour s'être vanté à lui « de l'avoir sauvé de la hache du tsar
Halaman 326 - J'envoie Keyserling .en Pologne , avec « ordre de faire roi, vous, ou le prince « Adam Czartorinski , votre cousin »^ Elle lui parlait ensuite du comte Orlof, et lui faisait sentir adroitement le danger de choquer ce nouveau favori. « Sa pas« sion pour moi, disait-elle, était publi« que, et tout a été fait par lui dans cette
Halaman 289 - Si je me laissais aller à mon penchant, j'aurais encore plus de goût pour la guerre que pour la paix; mais l'humanité, la justice et la raison me retiennent. Cependant je ne ferai pas comme l'impératrice...
Halaman 372 - ... et dont il vous plaît de faire mention, ne m'appartiennent pas : les Calas doivent ce qu'ils ont reçu à leurs amis; M. Diderot, la vente de sa bibliothèque au sien; mais les Calas et les Sirven vous doivent tout. Ce n'est rien que de donner un peu à son prochain de ce dont on a un grand superflu; mais c'est s'immortaliser que d'être l'avocat du genre humain, le défenseur de l'innocence opprimée.