Revue contemporaine, Jilid 74Bureaux de la Revue contemporaine., 1864 |
Edisi lain - Lihat semua
Istilah dan frasa biasa
Aimery Alcuin Alfred de Musset âme anglais aujourd'hui beau Benjamin Constant Birouste capitaine chaleur chant cheval choses civile cœur comédie consanguinité conscience considérable côté coup culte Démosthène dernier Devay Dieu dire Dolorès donner Dupanloup élevé enfants esprit fantaisie femme fille force Forestier forme François Ier Fulcrand Gabriel Garrigues-Rouges général gens Genty gouvernement Guerreros homme humaine indigènes Jeanne jeune jour l'auteur l'éducation l'Eglise l'esprit l'Etat l'homme l'impôt l'œuvre lac Taupo laisser Lamennais liberté littéraire lutte main maître Malavieille Malpas Maoris Marie Médina ment Meyerbeer monde morale Musset nature non-seulement Nouvelle-Zélande Octave Feuillet Odélie œuvres Olot parler passer pays pensée peuple philosophie Plougoulm poésie poète politique premier presque principe puisse pur sang qu'un race raison religieuse religion reste rien Rocagirade Rouilhac s'est sais scène Sébastien semble sentiment serait seule siècle sire société soleil sorte souvent terre tion trouve Valquières vérité Victor Hugo Voilà Waikato yeux Yvelines zélandais
Petikan popular
Halaman 300 - Entre toutes les différentes expressions qui peuvent rendre une seule de nos pensées, il n'y en a qu'une qui soit la bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait point un homme d'esprit qui veut se faire entendre.
Halaman 35 - Nul ne peut être responsable de ce qu'il a écrit ou publié, que dans les cas prévus par la loi. 354. Nul ne peut être empêché d'exercer, en se conformant aux lois, le culte qu'il a choisi. — Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d'un culte. La République n'en salarie aucun.
Halaman 29 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Halaman 235 - L'Avenir sur la liberté des cultes et la liberté de la presse, qui ont été traitées avec tant d'exagération et poussées si loin par MM. les Rédacteurs, sont également très répréhensibles, et en opposition avec l'enseignement, les maximes et la pratique de l'Église. Elles ont beaucoup étonné et affligé le Saint-Père ; car si, dans certaines circonstances, la prudence exige de les...
Halaman 276 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée , Comme au jour de sa mort pompeusement parée : Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble...
Halaman 282 - Pourquoi ces choses et non pas d'autres? Qui les a fixées sur ma tête? Forcé de parcourir la route où je suis entré sans le savoir, comme j'en sortirai sans le vouloir, je l'ai jonchée d'autant de fleurs que ma gaieté me l'a permis : encore je dis ma gaieté sans savoir si elle est à moi plus que le reste, ni même quel est ce moi dont je m'occupe...
Halaman 234 - Le Saint-Père désapprouve aussi et réprouve même les doctrines relatives à la liberté civile et politique, lesquelles, contre vos intentions sans doute, tendent de leur nature à exciter et propager partout l'esprit de sédition et de révolte de la part des sujets contre leurs souverains.
Halaman 282 - On se débat, c'est vous, c'est lui, c'est moi, c'est toi, non, ce n'est pas nous; eh! mais qui donc? (Il retombe assis.) O bizarre suite d'événements ! Comment cela m'est-il arrivé ? Pourquoi ces choses et non pas d'autres? Qui les a fixées sur ma tête? Forcé de parcourir la route où je suis entré...
Halaman 32 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Halaman 391 - I homme qui n'est que mercenaire, donner la terre au laboureur, c'est le plus grand bien qui se puisse faire en France, depuis qu'il n'ya plus de serfs à affranchir. C'est ce que font ces gens.