OUVRAGES PUBLIÉS PAR M. TREBUCHET. CODE ADMINISTRATIF des Établissements dangereux, insalubres ou incommodes. JURISPRUDENCE de la Médecine, de la Chirurgie et de la Pharmacie en France. Paris. Imprimerie at Fonderie de RIGNOUx et C, rue des Franes-Bourgeois-S.-Michel, 6. NOUVEAU DICTIONNAIRE DE ου SONS LIBRARY MICHIGAN RECUEIL ANALYTIQUE ET RAISONNÉ DES LOIS, ORDONNANCES, RÈGLEMENTS ET INSTRUCTIONS CONCERNANT LA POLICE JUDICIAIRE ET ADMINISTRATIVE EN FRANCE; PRÉCÉDÉ D'UNE INTRODUCTION HISTORIQUE SUR LA POLICE, DEPUIS SON ORIGINE JUSQU'A NOS JOURS. PAR MIG ÉLOUIN, ANCIEN MAGISTRAT; : A. TREBUCHET, AVOCAT, CHEF DE BUREAU A LA PRÉFECTURE DE POLICE; E. LABAT, ARCHIVISTE DE LA PRÉFECTURE DE POLICE. Quid leges sine moribus, quid meres sine legibus? TOME SECOND. PARIS. BÉCHET JEUNE, LIBRAIRE-ÉDITEUR, PLACE DE L'ÉCOLE DE MÉDECINE, 4. Nous avons donné, dans l'introduction, la biographie des lieutenants-généraux de police; nous croyons devoir compléter cet historique par la liste des préfets de police qui se sont succédé depuis la création de la préfecture de police (28 pluviose an VIII) jusqu'à ce jour (1er juin 1835). MM. DUBOIS. PASQUIER. Préfets de police. Du 17 ventose än viii (8 mars 1800) au 14 octobre 18to. Du 14 octobre 1810 au 13 mai 1814. 1 Directeurs-généraux exerçant les fonctions de préfets de police. MM. BEUGNOT. MM. BOURIENNE. COURTIN. DECASES: ANGLÈS. DELAVAU. DEBELLEYME. MANGIN. BAVOUX. GIROD (de l'Ain). TREILHARD. BAUDE. VIVIEN. SAULNIER. Du 13 mai au 3 décembre 1814. Du 3 décembre 1814 au 14 mars 1815. Préfets de police. Dù tá au 20 mars 1815. Du si mars au a juillet 1815. Du 3 au 9 juillet 1815. Du to juillet au 29 septembre 1815. Du ağ septembre 1815 au 20 décembre 1821. Du 20 décembre 1821 au 6 janvier 1828. Du 6 janvier 1828 au 13 août 1829. Du 13 août 1829 au 29 juillet 1830. Du 39 juillet au 1 août 1830. Du ter août au 7 novembre 1830. Du 7 novembre au 26 décembre 1830. NOUVEAU DICTIONNAIRE DE POLICE. EAU. E. Considérée dans tous ses rapports avec les besoins de la société, l'eau est placée sous la surveillance des corps municipaux; ils doivent en maintenir le libre cours, s'il s'agit de rivières ou de ruisseaux; en assurer la propreté et la salubrité, s'il s'agit d'une fontaine ou d'un puits; faire vider et curer les mares et puisards, dont l'eau corrompue répandrait une odeur infecte et pourrait occasioner des maladies; prendre surtout les mesures les plus efficaces pour empêcher la stagnation d'eaux infectes sur quelque lieu que ce soit, et notamment de celles provenant de certains établissements industriels, tels que les buanderies, les féculeries, les distilleries, etc., etc., et qui sont une cause grave d'insalubrité; prescrire les modes d'approvisionnements permanents pour porter secours en cas d'incendie, et veiller au libre et facile abord des abreuvoirs. Dans les localités où les eaux destinées à l'arrosement et à l'irrigation des propriétés rurales ne peuvent être dirigées sur les terres qu'à des époques déterminées, les maires doivent apporter la plus consciencieuse attention à ce que leurs arrêtés sur cet objet garantissent les droits de tous, et à ce que leur exécution ne donne lieu à aucune contestation: l'expérience a démontré les difficultés que l'intérêt particulier et la cupidité font naître habituellement en cette patière délicate, qui se lie essentiellement à la propriété. Voir ABREUVOIRS, AQUÉDUCS, BAINS FROIDS, BLANCHISSEUSES, CAVES, CITERN ES, COURS D'Eau, conduite et T. II. I |