Poësies

Kulit Depan
Chez J.F. Bernard., 1755 - 284 halaman
 

Istilah dan frasa biasa

Petikan popular

Halaman 7 - Tu mets un juste frein aux plus folles ardeurs; Tu peux même élever le plus ferme courage Par le digne mépris que tu fais des grandeurs. Le nom de ce Romain qui vainquit Mithridate Par...
Halaman 54 - Sont-ils perdus, disais-je, sans retour ? Et n'es-tu pas cruel, Amour, Toi que je fis dès mon enfance Le maître de mes plus beaux jours, D'en laisser terminer le cours...
Halaman 5 - Et des besoins de leurs amis. Quel fut ce temps ! quel est le nôtre ! Entre deux amis aujourd'hui , Quand l'un a besoin d'un appui , Le trouve-t-il toujours dans l'autre ? Esclaves de tous nos abus , Victimes de tous nos caprices , Nous ne donnons plus qu'à des vices Les noms des premières vertus.
Halaman 13 - Dans leurs ardeurs mutuelles , Des chansons dignes de toi. Mais je sens que ma prière A trouvé grâce à tes yeux; Une nouvelle lumière Rend mon esprit radieux. Mes vers vont servir de guides A ces âmes trop timides Qui , de peur de tes rigueurs , Fuyant tes faveurs divines , N'osent, pour quelques épines, Cueillir les plus belles fleurs. Publions donc à ta gloire Que , plus fort que tous les dieux , Pour la plus grande victoire Tu n'armes que deux beaux yeux ; Et que ta douceur est telle ,...
Halaman 7 - Que Jule eût épargné de pleurs à sa patrie Si , vainqueur des Gaulois , par d'injustes projets De ses rares vertus la gloire il n'eût flétrie, Et qu'il eût aux travaux su préférer la paix ! De la tranquillité compagne inséparable , Paresse, nécessaire au bonheur des mortels, Le besoin que l'Europe a d'un repos durable Te devroit attirer un temple et des autels.
Halaman 23 - Le sage se fortifie : Sans envie et sans ennui Sur la raison il s'appuie ; Elle soumet tout à lui. Dans le milieu de la foule, Seul il peut dire aujourd'hui : J'ai joui du temps qui coule.
Halaman 39 - On aime plus qu'on n'aimoit autrefois. On aime à droite, on aime à gauche, Partout en liberté l'on conte ses raisons. Rien chez nous aujourd'hui ne s'appelle débauche, Et l'amour est enfin de toutes les saisons. Chacun en prend sans se contraindre; Et je ne vois que les maris Qui puissent justement se plaindre Qu'on aime plus que l'on n'aimoit jadis.
Halaman 2 - J'y laifle couler mon efprit, Comme cette onde gazouillante, Qui fuit le chemin de fa pente , Qu'aucune loi ne lui preferit. JE vois fur des côteaux fertiles Des troupeaux riches & nombreux ; Ceux qui les gardent font heureux , Et ceux qui les ont font tranquilles.
Halaman 12 - PUISSANT et premier génie Par qui tout fut animé, Toi qui maintiens l'harmonie Du monde par toi formé , Amour, d'un trait de ta flamme Pénètre aujourd'hui mon âme, Et fais couler dans mes sens Le feu dont brûla Catulle , Et qui du jeune Tibulle Forma les tendres accents. Ni les nymphes du Parnasse Ni les faveurs d'Apollon Ne me donneraient l'audace De célébrer ton saint nom. C'est toi qui, près d'une eau pure, Au fond...
Halaman 5 - Nous détruifons nos pâturages : Nous changeons nos prés en jardins , En parterres nos champs fertiles , Nos arbres fruitiers en ftériles , Et nos vergers en boulingrins. HEUREUX...

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